Poppy Jazz
- Sourires : 36 - Emmenagement : 15/06/2016 - Avatar : Shelley Henng - Copryright : milkovich & endlesslove - Pseudo : SB
(new york i love you) - Age: 29 ans - Activités: Infirmière urgentiste - Carnet d'adresse:
| Sujet: This time I'm gonna slow it down Jeu 16 Juin - 0:27 | |
| (poppy jazz) Just please don't say you love me 'Cause I might not say it back. 29 ans - Infirmière urgentiste - West Side Story crédits@tumblr.com ---------------------------------------~ Origines : N'ayant pas connu ton père, tu prétends être pure américaine, consciente que cette vérité est probablement un mensonge en instance. ~ Lieu de naissance : New-York. ~ Nombre d'enfants : Aucun bien que tu aimerais, ce n'est pas l'envie qui manque. Peut-être un peu. Peut-être que la situation actuelle n'est pas propice. ~ Situation amoureuse : En couple depuis trois ans déjà, les sentiments perdurent, le temps n'efface rien, il révèle tout. L'usure commence à se faire oppressante et tu as besoin de respirer. ~ Qualités : Attachante, audacieuse, coriace, déterminée, drôle, fidèle, forte, honnête, franche, patiente, protectrice, sensible, taquine. ~ Défauts : Agaçante, bordélique, brusque, chiante, gourmande, impulsive, indépendante, rancunière, sarcastique, solitaire, têtue, vulgaire, vulnérable. ~ Finances : $$. Tics et manies du personnage : (I). Le ménage, c'est loin d'être ton truc, tu préfères maintenir un bordel constant pour te retrouver dans tes affaires. Néanmoins, quand il t'arrive de tâter l'éponge de la cuisine ou de brancher l'aspirateur dans le couloir, tu le fais la nuit. Uniquement la nuit. Au plus grand plaisir de tes voisins. Heureusement pour eux, ce grand moment n'arrive pas souvent. (II.) Tu aimes autant cuisiner que nettoyer, c'est-à-dire que les boites de conserve occupent la majeure partie de tes tiroirs. L'autre moitié contient les menus des restaurants du coin quand tu as faim de gastronomie. (III). Tu adores t'endormir sur le canapé, il t'arrive même de camper dans ton salon plusieurs semaines d'affilée au plus grand désarroi de ton lit. (IV). Les gens obsédés par leur téléphone portable t'insupportent. Probablement parce que tu mets deux jours avant de répondre aux sms reçus. Les conversations virtuelles sont loin de t'emballer. Tu as besoin d'une discussion concrète, réelle, que tu qualifies d'humaine. (V). Au petit-déjeuner, tu manges toujours des céréales pour le plaisir de les entendre craquer sous tes dents. Au fil du temps c'est devenu une habitude matinale. (VI). Non pas que tu souhaites mourir jeune mais le code de la route, tu t'en souviens vaguement, encore moins quand t'es piétonne. A croire que t'es daltonienne quand tu traverses au rouge et que tu reproches au voiture de circuler. (VII). Être en avance t'agace, être en retard te frustre. L'un comme l'autre ont le don de t'irriter. La ponctualité est ton parfait équilibre et tu fais en sorte de le perdurer. Néanmoins, tu es clémente vis à vis des autres, une sorte de tolérance accrue. (VIII). Être utile te motive à te lever chaque jour parce que tu as le sentiment de pouvoir aider les gens. De faire quelque chose qui compte pour eux. C'est ça qui te permet de tenir le coup après toutes ces années à bosser dans les urgences. Tu te souviens encore de la première semaine de travail: une horreur. Et pourtant, tu es toujours dans le même service. (IX). Avec toi c'est tout dans les gestes. Les gestes ne trompent pas comme les belles paroles qu'on dit trop vite avant de s'en rendre compte trop tard. Ce qui compte vraiment c'est ce qu'on fait. Ce qui restera à la fin, c'est ce qu'on aura fait. Ni plus ni moins. Parce que ça fera toute la différence. (X.) On te reproche souvent ta franchise quand tu revendiques ton honnêteté. En réalité, tu manques d'un tact considérable qui peut se révéler assassin ou opportun. Cela dépend de la situation. Encore plus de la personne. (IX). Ton langage en surprend plus d'un. Il faut dire que tu sers du putain à toutes les sauces, matin, midi, soir. (XII). Les jeux vidéo c'est un peu ton dada quand ta journée est tellement pourrie que tu restes polie pour en parler. Excessivement polie. (XIII). Au travail, tu es capable de patience, de collaboration, de dévouement. Ce que tu appelles le professionnalisme. Sauf que ça, c'est au travail. En dehors, c'est une autre histoire. Fatigue, courbature et nervosité font mauvais ménage. A la fin de la semaine tu as envie de rester chez toi et te reposer comme une vieille de 70 ans. Et surtout, qu'on te fasse pas chier. (XIV.) Quand tu rigoles, tu rigoles fort. Peut-être parce que tu aimes entendre les gens rire. C'est une mélodie qui te plait bien plus que n'importe quelle musique du monde. C'est la mélodie d'un instant de bonheur. (XV). Tu raffoles des glaces au point d'en manger toute l'année si ce n'est à tous les repas. Ton parfum préféré: la noix de coco. → the story of my lifeTout est calme. Étrangement calme. C'est presque déroutant. Presque trop. Tu avais oublié ce qu'on peut ressentir lorsque rien ne se passe. Comme si le temps n'avançait plus. Comme s'il s'arrêtait un instant pour te laisser apprécier le silence omniprésent. Les portes restent fermées, les tiroirs ouverts, la lumière allumée, la télévision en veille, la radio en pause. Et surtout les fourchettes, les couteaux et les cuillères ne sont plus rangés par ordre de couvert. Ils se chevauchent dans un chaos qui fait pâlir la cuisine. De quoi te donner le sourire. Tu le trouves apaisant ce calme. Un calme qu'on ressent de l'intérieur. Et c'est sur cette note que tu t'endors paisiblement affalée sur ton canapé. Pour te réveiller un jour de plus sans lui. Son absence s'installe petit à petit, sans brusquer ton quotidien. Au contraire, tu apprécies la tranquillité jadis égarée. Lorsque tu rentres du travail, tu ne retiens plus ton souffle. Tu peux respirer. Tu peux t'évader. Ce n'était pas vraiment une prison mais parfois tu avais l'impression qu'elle se construisait autour de toi. De vous. Et la routine de ces trois dernières années devenaient oppressantes. Il te fallait y mettre un terme, juste un temps. Juste un moment pour un tête-à-tête avec tes pensées. Ce sont les seules paroles qui se répètent. Aucun autre bruit ne résonne et ça te fait un bien fou. Tu culpabilises presque de ressentir ça mais c'est la vérité. Elle n'est pas apparue immédiatement mais au fil du temps, laissant des points noirs sur les pages de votre histoire. Maintenant tu la vois. C'est net, limpide, tu ne peux plus l'ignorer. Tu dois apprendre à vivre avec. Comme tu as appris à vivre avec Tomas. Jour après jour vos différences ont grandi l'une à côté de l'autre. Pour mieux s'apprivoiser.
Tu es tombée sous son charme dès le premier instant, sans pouvoir dire pourquoi, sans pouvoir dire comment. Ses manies ont su trouver une place dans ta vie. Tu acceptais la personne qu'il était parce que tu l'aimais. Aussi simplement que ça. Tes sentiments ont-ils changé ? Tu l'ignores. Tes regards complices sont devenus des soupirs lourds de sens. Et l’agacement a fini par remplacer l'amusement. Jusqu'à te trahir dans tes gestes. Jusqu'à te submerger dans tes paroles. Tu as rompu la proximité entre vous sans rendre cette situation définitive. Il te fallait une seconde. Une seconde pour revisiter le monde. Les secondes sont devenus des jours. Les jours, des semaines sans lui. Les petits plaisirs retrouvés n'ont cependant pas comblé le manque au fond de ta poitrine. Ce manque qui n'en finit plus. Ce manque qui creuse de plus en plus profond. Tu en connais l'origine. Tu le devines chaque fois que tu verrouilles la porte d'entrée, que tu te laves les mains, que tu éteins la lumière dans toues les pièces, que tu vérifies les fenêtres et que tu te demandes si tu n'as rien oublié. Tomas saurait. Parce que Tomas répétait ces gestes inlassablement. Au point de te rendre folle parfois. Ça te fait sourire d'y repenser. Comme si c'était hier. La distance peut devenir pesante, surtout quand tu retrouves son empreinte un peu partout dans l'appartement. Quoi que tu fasses, il reste dans tes pensées, accompagne tes rêves, compose tes doutes. Tu ne sais pas si tu es à nouveau prête pour plonger au coeur de sa maladie. Prête à repartir au plus près de ses troubles. Dès que la question te vient, tu as peur. De ne pas être à la hauteur, de ne plus en être capable, d'avoir usé de toute ton énergie dans ce périple amoureux. Et pourtant Dieu sait que tu as besoin de lui comme il a besoin de répéter certains mots jusqu'à ce qu'ils soient parfaitement prononcés. Parce que son imperfection est sans aucun doute ce qui le rend unique.
Alors tu restes enfermée dans cette spirale d'hésitation. Édifiant toi-même, les propres barreaux de ta prison. Incapable de t'en libérer, de force ou de gré.
~ Pseudo/Prénom : S-B. ~ Âge : 23 ans. ~ Avatar : Shelley Hennig. ~ Connexion : Régulière. ~ Commentaire : J'adore le design du forum et l'ambiance me semble vraiment sympathique
Dernière édition par Poppy Jazz le Jeu 16 Juin - 7:11, édité 18 fois | |
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Melvyn Marsh
- Sourires : 49 - Emmenagement : 15/06/2016 - Avatar : mattsexydaddario - Copryright : cranberry. - Playlist : Somebody To Die For _ Hurts
The Scientist _ Coldplay
Don't Wait _ Joey Graceffa
Simple and Clean _ Kingdom Heart - Pseudo : danse.flamme_
(new york i love you) - Age: 28 ans - Activités: emergency doctor - Carnet d'adresse:
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Kyle Ramsey
- Sourires : 88 - Emmenagement : 14/06/2016 - Avatar : Adelaide Kane - Copryright : @ Faye - Playlist :
Eurythmics - Sweet Dreams /
Lana Del Rey - Video Games - Pseudo : Jazz
(new york i love you) - Age: 27 y.o - Activités: Youtubeuse spécialisée dans le gaming, ex-dealeuse. - Carnet d'adresse:
| Sujet: Re: This time I'm gonna slow it down Jeu 16 Juin - 1:02 | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: This time I'm gonna slow it down Jeu 16 Juin - 1:09 | |
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Piper Grimes Say hello to the girl that i am
- Sourires : 464 - Emmenagement : 18/05/2016 - Avatar : Sophia Bush - Copryright : Hepburns, tumblr - Playlist : Can't stop the feeling (timberlake), Lush life (larsson), Bonbon (istrefi), Ain't nobody (jaehn). - Pseudo : Speechless (Pauline)
(new york i love you) - Age: 31 years - Activités: Sportive's manager - Carnet d'adresse:
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Tomas Marsh
- Sourires : 48 - Emmenagement : 15/06/2016 - Avatar : mgg - Copryright : undisclosed desires - Pseudo : lau
(new york i love you) - Age: 32 yo - Activités: journalist - Carnet d'adresse:
| Sujet: Re: This time I'm gonna slow it down Jeu 16 Juin - 6:09 | |
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Poppy Jazz
- Sourires : 36 - Emmenagement : 15/06/2016 - Avatar : Shelley Henng - Copryright : milkovich & endlesslove - Pseudo : SB
(new york i love you) - Age: 29 ans - Activités: Infirmière urgentiste - Carnet d'adresse:
| Sujet: Re: This time I'm gonna slow it down Jeu 16 Juin - 7:11 | |
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Adam Geller
- Sourires : 34 - Emmenagement : 14/06/2016 - Avatar : Chris Evans - Copryright : furiedheart. (avatar) - Pseudo : TURQUOISE.
(new york i love you) - Age: trente-deux ans. - Activités: artisan boulanger patissier, il aime créer des gâteaux aux glaçages colorés. - Carnet d'adresse:
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Piper Grimes Say hello to the girl that i am
- Sourires : 464 - Emmenagement : 18/05/2016 - Avatar : Sophia Bush - Copryright : Hepburns, tumblr - Playlist : Can't stop the feeling (timberlake), Lush life (larsson), Bonbon (istrefi), Ain't nobody (jaehn). - Pseudo : Speechless (Pauline)
(new york i love you) - Age: 31 years - Activités: Sportive's manager - Carnet d'adresse:
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| Sujet: Re: This time I'm gonna slow it down | |
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